Emilia Petrarca is a native New Yorker covering fashion and culture. Before going freelance, she held the role of Senior Fashion Writer at NYMag’s the Cut, where she worked for 5 years. Her writing can now also be found in the NYTimes, WSJ, and more.
Hello Emilia,
I am the founder of the Plasticana brand and, as such, I would like to respond to the part of your Newsletter of September 5 dedicated to « trendy » shoes PLASTICANA in the USA.
https://emiliapetrarca.substack.com/p/summer-recap-nyc-fashion-girlies
« La chaussure tendance qui me déroute toujours
Vous avez peut-être également remarqué un certain sabot en plastique de chanvre de couleur crotte de nez partout à New York cet été. Ils appartiennent à une marque française appelée Plasticana, fondée en 1998, mais ils sont arrivés à Brooklyn en grand il y a environ cinq ans, lorsque Salter House, un magasin d’articles pour la maison et de vêtements sur Atlantic Avenue, a ouvert et commencé à les proposer. (Jacob Gallagher, chroniqueur de mode masculine au Wall Street Journal, les appelle désormais les « Air Cobble Hills ».) La créatrice Emily Adams Bode, amie de l’un des fondateurs de Salter House, a eu l’idée d’inclure ces chaussures dans son défilé FW20. , ce qui les a finalement amenés dans le Lower East Side. Et puis GQ est également tombé amoureux d’eux l’année suivante.
Je comprends que les sabots Plasticana sont plus abordables et plus légers que les bottes Hunter en plastique ou les Birkenstocks. Ils sont aussi français. Mais ce que je ne comprendrai jamais, c’est pourquoi les gens choisissent de porter ces sabots de jardinage en plastique de chanvre dans les rues de New York pendant l’été. Leurs pieds ne suffoquent-ils pas ??
Quand j’ai demandé à mes amis s’ils étaient effectivement morts au nom de la mode tout l’été, ils ont admis que, oui, ça pouvait devenir un peu grillé là-dedans. Mais ils les portent avec des chaussettes ! Comme si c’était censé améliorer les choses. Est-ce que cela ne rend pas vos pieds encore plus chauds ?
« Je pense que mes pieds allaient bien! » déclare Nick Williams, co-fondateur de Small Talk et fier porteur de sabots Plasticana. « Mais honnêtement, la solution consiste peut-être à utiliser un couteau X-acto pour les transformer en Crocs bootleg. »
Voilà une idée que je peux soutenir ! «
Emilia , rest assured: I myself am surprised by the success of this model which I had chosen from the heritage of the last French manufacturer of plastic shoes (the Humeau group) because I wanted a typical application for gardening since I was going to exhibit in a prestigious salon in the Tuileries (the Jardins Jardin salon). In France it is another model (Nirvana) open at the heel and anatomical which had its success at Nature et Découvertes in 2005. AND that it would have been more logical to wear in summer, I completely agree with you!
We must therefore agree and…hope for it! : the behavior of others will remain and fortunately always unexpected.
I laughed at your adjective “booger” to name the color resulting from the metamorphosis of the sugars contained in the hemp fibers into a more or less dark caramel color!
And your proposal to cut the Gardana shoe will, I hope, create a competition for daring sculptors among your readership! no, it is better to wear an open model (there is also Opana which is currently the most sold, because you can wear it at home or on the terrace).
or for the womans : Rumbana model !!!!
Thank you again for talking about this « fashion phenomenon » of a brand which does not appear in paid advertisements, which does not have a store opening policy, which no longer even puts its logo on shoes : yes Plasticana is the incarnation of our times demanding sobriety! Good to you.
André Ravachol Founder of the Plasticana brand