Pas moyen de me concentrer dans mon travail de contes de faits sur le chanvre pour ma Newsletter bi mensuelle Chanvrorama (https://www.linkedin.com/newsletters/chanvrorama-6948283703177437184/) : c’est maintenant l’Institution mondiale des magazines féminins qui a pris le virus Plasticana, oui il s’agit bien d’Harper’s Bazaar ! (vous pourrez lire sa glorieuse histoire ici :https://fr.wikipedia.org/wiki/Harper%27s_Bazaar )
Je découvre deux articles du 30 et 31 mai , traitant de deux modèles de chaussures Plasticana bien diffèrents. Je commence par le dernier dans la version française du magazine (qui existe depuis un an seulement). C’est la rédactrice en chef MITIA BERNETEL qui s’attèle à cette première investigation en partant d’une belle photo des sabots prise par Fred et Marion les heureux jardiniers manieurs de grelinette et animateurs du site www.magasinvivant.com .
Bien !, que nous dit elle de nouveau par rapport à ses collègues de la mode masculine de GQ ? Qu’il y a une féroce concurrence dans les modèles de sabot avec un enchainement de noms de marques que je ne connais pas ,mais surtout qu’il est (« attesté ») justifiée par le porter d’une mannequin parait il célèbre – Bella Hadid- , ce qui n’était pas le cas effectivement du démarrage du virus à New York dans le public masculin hormis les mannequins anonymes du défilé Bode de 2020 . Il semble donc que le mode d’allumage de la flamme chez les porteuses du sabot Gardana passe par ce biais ?! J’en doute un peu , vu le succès déjà constaté sur Instagram et Tik Tok.
« Les sabots des jardiniers sont tendance et Bella Hadid en atteste »
D’Aimé Leon Dore à Plasticana, de la Fashion Week aux pieds des it-girls, le sabot de jardin est devenu une chaussure en vue.
Mais il y a une information , bien plus intéressante qui m’a toujours questionné : la valeur que l’on donne à un produit qui est recherché par tout le monde (presque tous les sites de vente le signale « épuisé » et il faut s’inscrire dans une liste d’attente ) . 31 euros chez Magasin Vivant (le double à New York, mais la bas deux fois moins cher que ses concurrents de la Mode !)
« La Gardana de Plasticana, la star du sabot de jardin«
« Aimé Leon Dore réitère ce printemps avec trois nouvelles couleurs, au prix de 125 euros. Mais les quidams n’ont pas attendu qu’un label new-yorkais s’emballe pour le sabot pour s’en emparer. Sur TikTok, certains utilisateurs font l’apologie d’un modèle bien plus accessible : le modèle Gardana de la marque Plasticana. (..)le sabot affiche un prix dérisoire de 31 euros. »
Et se rend disponible dans des concept-stores comme l’Exception ou la chic enseigne dédiée aux espaces vert Magasin Vivant!. De quoi plaire aux rats des villes comme aux rats de champs. »
Et la rédactrice se montre pertinente et va à l’essentiel : « Ce que cette chaussure a de plus, c’est son matériau, un PVC au chanvre marron glacé qui présente des aspérités pour un rendu plus authentique. »
Oui c’est bien le matériau où les fibres de chanvre se montrent dans la chair du produit et la coloration spontanée issue de la caramélisation des « sucres » liant les fibres entre elle qui fait toute la diffèrence ! Et mon idée de 1998 d’en faire l’adn d’une marque – PLASTICANA- s’incarne ainsi au gré des passions des industriels bien peu nombreux comme vous avez pu le constater à s’investir dans cette voie ! Patience encore !
Je vous donne rendez vous pour la seconde salve du magazine en faveur de Plasticana. A.R