J’ai le plaisir de relayer quelques articles issus de la presse française pour montrer les étapes de l’engouement pour le travail d’Emily Bode (voir mon article ici sur son défilé de Mode de janvier 2020 incluant des chaussures Plasticana !)
Tout d’abord c’est Valérie Guédon qui en parle en direct le 18 juin 2019 lors du premier défilé d’Emily Bode à Paris
Mardi: 12 heures
Emily AdamsBode, lauréate du prix du créateur émergent 2019 du CFDA (la Fédération de la mode américaine), remis début juin, défile sous le nom de Bode pour la première fois de sa jeune carrière, qui plus est à Paris. Pour un galop d’essai, c’est un coup de maître. La jeune créatrice originaire d’Atlanta livre une collection poétique, désuète, mettant à l’honneur l’artisanat. Les pulls crochetés et les chemisettes en soie sont réchauffés de paletots en patchwork de tissus chamarrés et pantalons peints à la main de dessins presque enfantins. Ses mannequins, aux allures de Tom Sawyer, déambulent à pas lents, laissant le temps au public d’examiner chaque finition, chaque broderie. Celui-ci n’en perd pas une miette. » (pas de photo malheureusement)
https://www.lefigaro.fr/mode-homme/fashion-week-journal-de-bord-18-06-19-paris-ete-2020-20190620
Ensuite deux mois plus tard, Charlotte Arnaud de Madame Figaro, le 28 aout 2019 découvre le talent d’Emily au travers de la remise des prix LVMH
« C’est un prix qui compte pour la jeune garde créative. Le prix spécial du jury LVMH, crée en 2014, vient d’être rebaptisé Prix Karl Lagerfeld en hommage au créateur disparu en février. L’occasion de revenir sur l’importance de cette distinction pour le monde de la mode, et les finalistes de l’année. »
Emily Adams Bode lance sa marque de prêt à porter masculin en 2016. Elle est la première créatrice féminine à défiler à la Fashion Week Homme de New York. Inscrite au calendrier parisien depuis juin dernier, elle a remporté le CFDA du créateur émergent en 2019. Incorporant des savoir-faire historiques comme la broderie et le matelassage à des silhouettes modernes, la créatrice raconte à chaque collection un patchwork d’histoires plus ou moins personnelles. »
Pour les autres talents voir :
https://madame.lefigaro.fr/style/le-prix-lvmh-cree-le-prix-karl-lagerfeld-280819-166574